Point du jour au samedi
22 mai 2004 (Pénestin)
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De bien belles images !
Sous un beau soleil et par
des rafales de vent atteignant les 25 nœuds, au
large de La Baule, nous avons eu le plaisir d’admirer
Antoine Albeau qui naviguait sur la planche de Raphaëla.
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Crédit photos : Valérie
Joncheray - Wind Mag |
« Bien sûr, comme le disait Antoine à
son retour, ce n’est pas une petite planche qui démarre
tout de suite sous la risée et la vitesse atteinte
maxi n’est pas comparable ».
Mais le spectacle de cette planche qui filait à 11,9 nœuds
au portant sur une mer plate et près de 8 nœuds
au près était magnifique et a donné le
sourire à tous ceux qui étaient présents,
en particulier Raphaëla, Hélène André,
Jean-Claude Belot et Guy Saillard bien sûr.
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Crédit photos : Valérie
Joncheray - Wind Mag |
« Je suis à
la rue, il y a trop de vent avec ma voile de 11,6 m2 »,
nous a crié Antoine, qui donnait pourtant l’impression
de se balader et de naviguer parfaitement à l’aise
sous les fortes risées, avec un grand sourire.
Il nous a d’ailleurs épaté en alignant
ses deux bords de près selon un cap de fin régatier,
à moins de 40 degrés de la direction du
vent.
Ce n’est pas mal pour une planche qui n’est pas
conçue pour le près et un véliplanchiste
qui se dit « à la rue ».
Le flotteur était alors quasiment sur la tranche, comme
les planches Open de l’époque, qu’Antoine
connaît aussi très bien pour avoir fait des régates
de sélection Olympique sur la Leichner.
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Crédit photos : Valérie
Joncheray - Wind Mag |
Bref, une bien belle sortie
pour la planche qui n’avait pas retrouvé l’eau
de mer depuis le 2 novembre à Tahiti et pour Antoine
Albeau qui ne connaissait pas ce type de flotteur conçu
pour le large.
« Ce n’est pas si stable que cela et puis,
cela fait beaucoup plus petit quand on est dessus sur l’eau »,
reconnaissait d’ailleurs Antoine.
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Crédit photos : Valérie
Joncheray - Wind Mag |
Nous avons eu ensuite le plaisir
d’admirer le champion voler sur l’eau sur son
petit flotteur prototype équipé d’un hydrofoil.
A chaque risée, Antoine s’envolait et naviguait
ainsi à plus de 40 cm de la surface.
Irréel, incroyable et magnifique.
« C’est rigolo et ça change ! »
expliquait Antoine que l’on sent toujours aussi passionné
de son sport la planche à voile.
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Crédit photos : Valérie
Joncheray - Wind Mag |
Nous avons eu beaucoup de chance
de profiter de sa présence.
Antoine a aussi fait la conquête de toutes les personnes
présentes par sa gentillesse et sa disponibilité.
Bon vent à lui, dans
toutes ses futures compétitions et qui sait, peut-être
le reverrons-nous un jour sur la grande planche océanique,
un jour de mer, histoire de la pousser un peu plus vite, un
peu plus loin.
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Crédit photos : Valérie
Joncheray - Wind Mag |
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