POINT DU JOUR 8 / Jeudi 16 mars 2006 (Fremantle 22H00 – 15H00 à Paris)
Le décalage horaire commence à se tasser un peu
Il est temps pour nous de reprendre contact avec le reste de la planète… Je vous passe les détails sur la crème solaire à ne surtout pas oublier ainsi que lunettes et casquettes mouillées. Le footing ce matin à 8H00 était déjà presque tardif mais on s’est consolés avec une petite baignade sur la plage de sable blanc (avec eau bleue transparente qui va avec) pour se rafraîchir un peu (l’eau n’est qu’à 23°C alors que l’air est plutôt aux alentours de la trentaine de degrés).
Scott, notre contact en Australie, a eu le bon goût de nous trouver
une maison juste à côté de la petite plage dont je viens
de vous parler. Elle est prévue pour une douzaine de personnes donc
à quatre le confort est assuré.
Nous avons un spa dans le jardin au cas où la flemme de marcher (100 m)
jusqu’à la mer nous prendrait.
Comme il faut acheter une bonne partie de la bouffe sur place, nous faisons
du tourisme dans les centres commerciaux de Fremantle, les boutiques bio pour
trouver les bananes séchées, les citrons verts, la viande séchée
(on a testé un petit échantillon ce soir avec une caïpiroska
préparée par Raphaëla, pas mal). Scott nous a indiqué
une poissonnerie à 5 mn à pied et on en est déjà
à notre deuxième visite : hier soir c’était
un énorme « snapper » cuit au four et qui n’a
eu aucune chance, aujourd’hui nous avons choisi des moules pour accompagner
les nouilles et en dessert un plat de gambas grillés avec une petite
pointe d’ail (tout le monde était d’accord).
Il nous fallait bien ça après la journée « chargement de la planche » que nous avons passée : à peu près 30°C mais une ombre d’1 m2 sous un petit palmier pas trop loin pour la pause déjeuner. Nous sommes royalement accueillis au Fremantle Sailing Club avec son bar, sa salle de restaurant, sa terrasse ombragée, son cuisinier français. Il n’empêche, Raphaëla a frisé l’insolation en rangeant les sachets de bouffe dans la planche sous un soleil impitoyable. Cyril a pris de belles couleurs encore aujourd’hui alors que ça fait une semaine qu’il est arrivé ! On a fait des photos de tout le matériel embarqué du haut de la grue qui sert à faire la mise à l’eau.
Maintenant il ne me reste plus qu’à m’installer sur le toit de la maison pour « attrape » les réseaux sans fil des voisins et vous envoyer des nouvelles. Eh oui ! Dedans on ne capte rien les murs sont trop épais…
Rédaction Hélène André